Le texte pose plusieurs problèmes. Le mot du début, incipit, n’a pas de sens dans la rédaction d’une épitaphe lapidaire : on pourrait y voir la trace de l’utilisation d’un modèle manuscrit, transcrit tel quel dans la pierre qui pourrait évoquer le mot epitaphion précédant le texte de l’épitaphe d’Ermenberga à Angers également[1]. Le contenu du texte, de nature obituaire, est très simple. Le dernier mot du texte, qui semble être un nom propre, pourrait évoquer une éventuelle signature même si ce genre de témoignage est extrêmement rare au Moyen Âge. On ne connaît ni Aubericus (dont le nom pourrait être un dérivé d'Albericus, attesté dans la documentation contemporaine[2]) ni Frodmund si la lecture du chanoine Urseau est correcte.